Notre organisation pour le train est encore perfectible...
En arrivant sur le quai la "provodnitsa" (responsable de wagon) vérifie nos billets et nos identités pour nous laisser monter à bord.
Avantage : on ne peut se tromper ni de train, ni de voiture !
Donc comme avant-hier, nous présentons les copies de passeports, mais cette fois-ci rien à faire, elle veut les vrais !
Problème, Il faut tout défaire pour extraire les précieux documents soigneusement cachés...
Second problème, nous pensions acheter, comme d'habitude les provisions du soir à la gare...
Erreur, il n'y a rien, si ce n'est des distributeurs de friandises et sodas comme ceux que nous trouvons dans le métro parisien !
Heureusement, nous avons du pain, du Nescafé, du "bonjour " (Ricoré au lait, vous savez... l'ami du petit déjeuner !), et bonheur suprême, du Yac-Yac !
Imaginez du riz soufflé, trempé dans du miel, qui colle, qui poisse, qui dégouline, le tout vendu dans une boite non étanche...
Bref, ce soir c'est gueuleton !
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| Au 1er plan... le Yak-Yak |
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| Couchette couloir |
Cette fois nous avons des couchettes "couloir ".
Avantage : celle du bas ce transforme en 2 sièges et une table, rien que pour nous !
Inconvénient : elles sont moins larges et plus courtes que les autres, et n'ont pas de coffre sécurisé dessous.
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| Intérieur d'un wagon platzkart |
Au Vietnam aussi on devait donner les vrais passeports aux hôtels. On a bien essayé de donner les photocopies mais on nous a demandé les visas. Du coup on donne les photocopies des visas (faites avant le départ), mais ils voulaient voir aussi le tampon de la douane... Bref, pas le choix.
RépondreSupprimerC'est quand même sacrément encombrant le Bonjour !
Le Yak-Yak me tente bien :-)
C'est impressionnant ce long wagon de couchettes !
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